5 janvier 2010
D'Isadora Underhill à Thomas Knoll
Modèle idéal, je viens de relire votre lettre, pourquoi avez-vous la dureté de ne rien me dire, je ne passe que de mauvaises nuits. En vous disant adieu, Thomas, je vous prie de ne plus voir Liz. Mais que vous dire que vous ne savez déjà, tout cela est...